Emerson Network Power présente Energy Logic 2.0
Cette approche, détaillée dans un nouvel e-book, constitue une mise à jour d’Energy Logic, lancé en 2007.
La société a également lancé un outil en ligne qui fait état des calculs d’économies l découlant de l’approche Energy Logic 2.0, et qui permet aux responsables de datacenters de “déterminer les économies d’énergie approximatives qu’ils pourraient réaliser”.
Cette année, Emerson Network Power a à nouveau utilisé un datacenter modèle de la même taille pour créer la feuille de route Energy Logic 2.0. Cependant, cette fois, les progrès technologiques récents ont permis de réaliser des économies d’énergie encore supérieures.
Par exemple :
– Energy Logic 2.0 démontre comment la consommation d’énergie du datacenter de référence peut passer de 1 543 kW à 408 kW.
– Des stratégies clés, notamment l’utilisation de composants de serveur à haute efficacité, les améliorations de l’architecture d’alimentation électrique et la gestion de la température et des flux d’air, ont été mises à jour en fonction des progrès technologiques récents.
– Le datacenter de référence tient compte de l’adoption rapide de la virtualisation de serveurs. Le datacenter Energy Logic optimisé en 2007 supposait une virtualisation de 20%, alors que le datacenter non optimisé de 2012 suppose une virtualisation de 30%. En outre, la consolidation et la virtualisation des serveurs sont désormais traitées comme une seule stratégie car elles se produisent généralement ensemble.
– L’architecture ICT (Information and Communications Technology) est présentée comme une bonne pratique émergente qui produit des économies d’énergie en optimisant l’architecture ‘informatique et réseau.
– L’émergence de la technologie DCIM (data center infrastructure management, ou gestion de l’infrastructure des datacenters) est intégrée à l’ensemble de la stratégie Energy Logic, car DCIM fournit la visibilité et le contrôle requis pour exploiter pleinement les multiples stratégies Energy Logic, notamment la gestion de l’alimentation des serveurs, la virtualisation, l’architecture d’alimentation électrique et la gestion de la température et des flux d’air.